A lui seul l’intitulé du recueil indique le passage d’un état de la réalité à un état d’esprit. Ce cycle brasse l’alliage des impressions durables de la mémoire, au point de rencontre de ce qu’il subsiste d’un lien d’enfantement. Au-delà des fracas, des brûlements, les cendres laissent place à l’oubli, mais celui-ci persiste à la manière d’un devoir d’oubli.